Semences potagères : Mise en oeuvre pratique du RSV et application du passeport phytosanitaire
Quelles sont les catégories d’organismes nuisibles ?
Quelles sont les espèces concernées par le Passeport Phytosanitaire pour les semences de légumes ?
Quelles sont les normes pour les ORNQ ?
Cas particulier pour la gestion du virus de la tomate, piment-poivron [ToBRFV]
Pourquoi l’apposition du Passeport Phytosanitaire est-elle exigée ?
Quels sont les opérateurs professionnels concernés par le Passeport Phytosanitaire ?
Dans quel cas particulier le Passeport Phytosanitaire n’est pas exigé ?
Comment obtenir une autorisation pour apposer le Passeport Phytosanitaire ?
Pour les nouveaux opérateurs professionnels, comment s’enregistrer ?
Quelles sont les règles de marquage pour le Passeport Phytosanitaire ?
Cas particulier du Passeport Phytosanitaire en zone protégée
Quelques exemples de Passeport Phytosanitaire sur le territoire européen
Peut-on mettre les Passeports Phytosanitaires sur les factures ou sur les bons de livraison ?
Quel Passeport Phytosanitaire prévoir en cas de reconditionnement ?
Combien de temps faut-il conserver les informations liées à la traçabilité ?
Quel nombre de Passeports Phytosanitaires prévoir, selon le type de lots commercialisés ?
Peut-on utiliser les anciens sachets vides déjà imprimés ?
Que doit-on faire des retours d’invendus en fin de saison, sans Passeport Phytosanitaire ?
Une période de transition est-elle prévue pour l’apposition du Passeport Phytosanitaire ?
Quelles sont les catégories d’organismes nuisibles ?
Les organismes nuisibles sont classés en plusieurs catégories :
a) Les organismes de quarantaine (OQ) de l’UE (175 ON dans l’annexe II du règlement 2019/2072) dont :
-
- Organismes de quarantaine non présents en UE (153 dans l’annexe II partie A), comme Liriomyza sativae Blanchard [LIRISA].
-
- Organismes de quarantaine présents en UE (22 dans l’annexe II partie B), comme la bactérie Xyllela fastidiosa [XYLEFA].
- Les organismes de quarantaine prioritaires (OQP), qui comprennent 20 organismes de quarantaine (compris dans les 175 OQ) et dont la surveillance sera renforcée par les autorités compétentes (ex. la bactérie Xyllela fastidiosa [XYLEFA]).
- La liste des organismes de quarantaine provisoires (cas des organismes de quarantaine non encore listés dans l’annexe II), comme le virus des fruits bruns et rugueux de la tomate [ToBRFV].
Et enfin, le règlement 2019/2072 prévoit aussi la liste des zones protégées de l’UE et des organismes de quarantaine correspondants (annexe III), comme le virus de la Rhizomanie (BNYVV0) si destination Irlande, France (Bretagne), Portugal (Açores), Finlande et Royaume-Uni (Irlande du Nord).
b) Les organismes réglementés non de quarantaine (ORNQ). Les annexes IV et V du règlement 2019/2072 listent les couples : Espèce / Organisme nuisibles, avec la précision des seuils de tolérance et les exigences particulières. Le seuil peut être à 0, comme le Clavibacter michiganensis [CORBMI] pour les semences de tomate.
Quelles sont les espèces concernées par le Passeport Phytosanitaire pour les semences de légumes ?
Les espèces pour les semences de légumes (dépendant de la directive 2002/55/CE) concernées par le Passeport Phytosanitaire sont :
- Allium cepa L. (oignon/échalote…)
- Allium porrum L. (poireau…)
- Capsicum annuum L. (piment/poivron…)
- Phaseolus coccineus L. (haricot d’Espagne…)
- Phaseolus vulgaris L., (haricot nain/haricot à rames…)
- Pisum sativum L. (pois ridé/mange-tout/rond…)
- Solanum lycopersicum L. (tomate)
- Vicia faba L. (fève)
Les 3 nouvelles espèces concernées par rapport à la directive 2000/29/CE sont indiquées en caractères gras.
A cette liste s’ajoutent quelques espèces concernées par des organismes de quarantaine pour certaines zones protégées, c’est le cas notamment pour les semences de beta circulant dans la zone protégée Bretagne vis-à-vis du virus de la rhizomanie.
La liste des zones protégées au niveau de l’Union Européenne et des organismes de quarantaine de zone protégée correspondants ainsi que des codes OEPP respectifs est précisée dans l’annexe III du Règlement d’exécution (UE) 2019/2072.
Quelles sont les normes pour les ORNQ ?
ORNQ – Bactéries | Végétaux | Seuil |
Clavibacter michiganensis ssp. michiganensis (Smith) Davis et al. [CORBMI] | Solanum lycopersicum L. | 0 % |
Xanthomonas axonopodis pv. phaseoli (Smith) Vauterin et al. [XANTH] | Phaseolus vulgaris L. | 0 % |
Xanthomonas fuscans subsp. fuscans Schaad et al. [XANTFF] | Phaseolus vulgaris L. | 0 % |
Xanthomonas euvesicatoria Jones et al. [XANTEU] | Capsicum annuum L., Solanum lycopersicum L. | 0 % |
Xanthomonas gardneri (ex Sutic 1957) Jones et al. [XANTGA] | Capsicum annuum L., Solanum lycopersicum L. | 0 % |
Xanthomonas perforans Jones et al. [XANTPF] | Capsicum annuum L., Solanum lycopersicum L. | 0 % |
Xanthomonas vesicatoria (ex Doidge) Vauterin et al. [XANTVE] | Capsicum annuum L., Solanum lycopersicum L. | 0 % |
ORNQ – Insectes et acariens | Végétaux | Seuil |
Acanthoscelides obtectus (Say) [ACANOB] | Phaseolus coccineus L., Phaseolus vulgaris L. | 0 % |
Bruchus pisorum [BRCHPI] | Pisum sativum L. | 0 % |
Bruchus rufimanus Boheman [BRCHRU] | Vicia faba L. | 0 % |
ORNQ – Nématodes | Végétaux | Seuil |
Ditylenchus dipsaci (Kuehn] Filipjev [DITYDI] | Allium cepa L., Allium porrum L. | 0 % |
ORNQ – Virus, viroïdes, maladies apparentées aux viroses et phytoplasmes | Végétaux | Seuil |
Virus de la mosaïque du pépino [PEPMV0] | Solanum lycopersicum L. | 0 % |
Viroïde du tubercule en fuseau de la pomme de terre [PSTVD0] | Capsicum annuum L., Solanum lycopersicum L. | 0 % |
Pourquoi l’apposition du Passeport Phytosanitaire est-elle exigée ?
Le passeport phytosanitaire est une étiquette officielle utilisée pour la circulation des végétaux sur le territoire de l’UE et le cas échéant pour leur introduction et circulation dans les zones protégées (ex. Bretagne pour la rhizomanie) qui atteste du respect de toutes les exigences définies.
Le règlement d’application 2019/2072 du règlement 2016/2031 établit que le Passeport Phytosanitaire doit être apposé pour la fourniture des végétaux concernés, « vers tous les opérateurs professionnels exerçants des activités liées aux végétaux, produits végétaux et autres objets ».
Quels sont les opérateurs professionnels concernés par le Passeport Phytosanitaire ?
Le règlement établit ce que l’on doit entendre par un opérateur professionnel : « Toute personne de droit public ou privé, participant à titre professionnel à une ou plusieurs des activités suivantes liées aux végétaux, produits végétaux et autres objets, et juridiquement responsable à cet égard :
- Plantation
- Amélioration génétique
- Production, y compris la culture, la multiplication et la maintenance
- Introduction et circulation sur le territoire de l’UE, et sortie du territoire
- Mise à disposition sur le marché
- Stockage, collecte, expédition et transformation »
Les producteurs de plants, les pépiniéristes, les grossistes, les maraîchers, les jardineries… sont bien des opérateurs professionnels.
Dans quel cas particulier le Passeport Phytosanitaire n’est pas exigé ?
Aucun Passeport Phytosanitaire ne sera exigé pour la fourniture directe à un utilisateur final (particulier, amateur…) sauf dans les cas suivants :
- pour toute vente à distance
- pour toute fourniture dans les zones protégées comme par exemple, les plants de beta vers la Bretagne (cf. la liste des OQ dans le Règlement d’exécution (UE) 2019/2072, Annexe III page 25 et Annexe X page 190)
- pour certains végétaux soumis à des exigences particulières ; dont la liste est en attente d’un acte d’exécution secondaire)
Comment obtenir une autorisation pour apposer le Passeport Phytosanitaire ?
Pour être habilitées à apposer le Passeport Phytosanitaire, les entreprises devront obtenir une autorisation de la part de l’autorité compétente, en démontrant qu’elles maîtrisent les étapes critiques de leur processus de production vis-à-vis des organismes nuisibles concernés, qu’elles sont en capacité d’identifier les risques spécifiques d’introduction et de dissémination de ces organismes nuisibles, de déterminer les points de contrôle de ces risques et de définir les mesures de prévention et de surveillance. Cette analyse des risques est propre à chaque entreprise.
Pour les nouveaux opérateurs professionnels, comment s’enregistrer ?
Le Règlement prévoit que tous les opérateurs professionnels soient enregistrés. Les professionnels déjà immatriculés gardent leur ancien numéro Phytopass.
Pour s’enregistrer en ligne, l’adresse est http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr. Le numéro d’immatriculation INUPP est un numéro unique pour toute activité.
Pour rappel, seuls les opérateurs qui vendent en direct à des amateurs ne sont pas obligés de s’enregistrer, ils doivent cependant respecter les exigences de traçabilité et de qualité sanitaire.
Quelles sont les règles de marquage pour le Passeport Phytosanitaire ?
Le Passeport Phytosanitaire doit être facilement visible. Il n’y a pas de taille minimum, la forme doit être carrée ou rectangle. Le Passeport Phytosanitaire peut être inclus dans l’étiquette commerciale, mais il devra alors être clairement séparé du reste en ajoutant par exemple une bordure. Pour la taille des caractères, il y a obligation de lisibilité sans recours à une aide visuelle.
Le drapeau européen doit figurer en noir et blanc ou aux couleurs de l’UE dans le coin supérieur gauche. La mention « Passeport Phytosanitaire / Plant Passeport » figure à droite du drapeau européen.
Le Passeport Phytosanitaire comprend plusieurs mentions obligatoires :
A : L’espèce est indiquée par son nom botanique
B : Le code à deux lettres de l’Etat-membre dans lequel est enregistré l’opérateur est suivi par le numéro d’enregistrement de l’opérateur
C : Le code de traçabilité peut être complété par un code-barres, un QR code, un hologramme ou une puce électronique
D : Le code du Pays Tiers ou Etat membre d’origine, en fonction de la provenance du végétal
Cas particulier du Passeport Phytosanitaire en zone protégée
Dans le cas d’espèces concernées par les zones protégées, la mention ZP est obligatoirement à rajouter, avec le nom ou le code de l’organisme nuisible, pour toute circulation de plants, même ceux vendus directement aux jardiniers amateurs.
En France, cela concerne par exemple, les semences et les plants du genre Beta pour la rhizomanie (BNYVVO) en Bretagne, issus de semences obligatoirement PP ZP.
Où faut-il apposer le Passeport Phytosanitaire ?
Le Passeport Phytosanitaire doit être apposé sur « l’unité commerciale » ou sur le lot, s’il comprend des unités provenant de la même marchandise.
Important : le nombre de Passeports Phytosanitaires apposés doit correspondre au nombre d’unités commerciales facturées.
Quel Passeport Phytosanitaire prévoir en cas de reconditionnement ?
Dans le cas de reconditionnement, si l’unité commerciale est fractionnée, l’opérateur doit remplacer le Passeport Phytosanitaire initial par un nouveau. Les Passeports Phytosanitaires d’origine remplacés doivent être conservés pendant 3 ans.
Si l’unité commerciale n’est pas fractionnée, l’opérateur peut choisir de garder le Passeport Phytosanitaire initial, à condition que les caractéristiques des végétaux n’aient pas changé, et que les exigences de traçabilité et sanitaires soient satisfaites.
Quelle disposition prévoir en cas de travail de reconditionnement opéré par des CAT ou des associations ?
Dans le cas où un opérateur fait intervenir des CAT ou des associations pour conditionner ou reconditionner des semences, ces structures pourront être assimilées à des sous-traitants de l’entreprise. Cela nécessite une maîtrise de la traçabilité et implique que l’analyse de risques de l’opérateur prenne bien en compte le travail effectué chez ce sous-traitant.
Combien de temps faut-il conserver les informations liées à la traçabilité ?
La durée d’archivage du Passeport Phytosanitaire est de 3 ans. Il n’est pas obligatoire de garder physiquement le Passeport Phytosanitaire. Chaque entreprise peut mettre en place son propre système de traçabilité et d’archivage.
Quel nombre de Passeports Phytosanitaires prévoir, selon le type de lots commercialisés ?
Il doit y avoir cohérence entre les unités commerciales et les unités facturées ou décrites sur le bon de livraison. Exemples :
Je vends 10 sachets de semences de laitue >> | 1 PP par sachet |
Je vends un carton de semences de laitues en sachet de 2g >> | soit 1 PP par carton soit 1 PP par sachet |
Je vends à une jardinerie un présentoir de 15 variétés différentes avec 5 sachets par variété >> | soit 15 PP sur le présentoir soit 15×5 PP sur les sachets |
Peut-on utiliser les anciens sachets vides déjà imprimés ?
Pour les sachets vides déjà imprimés sans Passeport Phytosanitaire qui restent en stock dans les entreprises, il existe deux options :
- soit apposer une étiquette sur les sachets
- soit le faire sur un suremballage
Ce tableau détermine si le PP doit être apposé dès à présent où ultérieurement, selon l’espèce conditionnée :
Espèces qui n’étaient pas soumises à PPE | Pas d’ON dans 2000/29 | ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2020 |
Espèces qui n’étaient pas soumises à PPE | Pas d’ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2019 Les reconditionneurs doivent s’assurer de l’absence de ces ON sur les lots achetés avant le 14/12/2019 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 devenus ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2023 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV | nouveau ORNQ Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2020 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV | nouveau OQ + ORNQ Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2019 |
Peut-on commercialiser les sachets déjà conditionnés avant le 14 décembre 2019, sans Passeport Phytosanitaire ?
Ces sachets peuvent être expédiés sans être modifiés, mais les exigences sanitaires (voir Règlement 2019/2072) doivent, elles, être respectées, et donc les analyses éventuellement nécessaires doivent être faites.
Que doit-on faire des retours d’invendus en fin de saison, sans Passeport Phytosanitaire ?
Concernant ces retours, qui n’arriveront que vers la fin de l’année 2020 :
- soit ils font l’objet d’un désensachage et d’un réemballage, et il faut se conformer à l’ensemble des exigences comme pour une nouvelle production ;
- soit il n’y a pas de réemballage et on se retrouve dans les deux options suivantes :
- soit apposer une étiquette sur les sachets,
- soit le faire sur un suremballage
Attention au fait qu’à partir du 1er décembre 2020, s’ajouteront les exigences sanitaires concernant les ORNQ (voir Règlement 2019/2072).
Le tableau détermine si le PP doit être apposé dès à présent où ultérieurement, selon l’espèce conditionnée :
Espèces qui n’étaient pas soumises à PPE | Pas d’ON dans 2000/29 | ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2020 |
Espèces qui n’étaient pas soumises à PPE | Pas d’ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2019 Les reconditionneurs doivent s’assurer de l’absence de ces ON sur les lots achetés avant le 14/12/2019 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 devenus ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2023 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV | nouveau ORNQ Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2020 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV | nouveau OQ + ORNQ Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2019 |
Quand doit-on mettre en œuvre le nouvel étiquetage et comment doit-on gérer les stocks de semences produites avant le 14 décembre 2019 ?
Le tableau ci-dessous fait apparaître que les seules espèces pour lesquelles des exigences nouvelles sont à prendre en compte dès maintenant, sont les tomates, les piments et les poivrons. Pour toutes les autres espèces, la mise en œuvre s’étale du 14 décembre 2020 au 14 décembre 2023.
Concernant les tomates, poivrons et piments, les nouvelles exigences en matière d’organismes de quarantaine et d’organismes réglementés non de quarantaine (ORNQ), sont rappelées dans le tableau (voir le détail complet dans le Règlement 2019/2072) et ne sont pas susceptibles d’être repoussées.
Espèces qui n’étaient pas soumises à PPE | Pas d’ON dans 2000/29 | ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2020 |
Espèces qui n’étaient pas soumises à PPE | Pas d’ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2019 Les reconditionneurs doivent s’assurer de l’absence de ces ON sur les lots achetés avant le 14/12/2019 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 devenus ORNQ dans RSV Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2023 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV | nouveau ORNQ Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2020 |
Espèces déjà soumises à PPE | ON dans 2000/29 | OQ + ORNQ dans RSV | nouveau OQ + ORNQ Exigences sanitaires du produit :
| PP à partir du 14/12/2019 |
Une période de transition est-elle prévue pour l'apposition du Passeport Phytosanitaire ?
Aucun report des délais n’est possible mais le SOC est disponible pour étudier une situation particulière qui lui serait signalée par une entreprise. Celle-ci doit l’adresser à soc.france@semae.fr.
Pour toute question spécifique relative au RSV : adresser un message à soc.france@semae.fr