Baromètre 2022 : la culture des protéagineux & vous !
Des variétés plus performantes pour atteindre l’autonomie protéique
Mais aussi développer de nouveaux débouchés, diversifier les rotations, améliorer la qualité des sols et réduire les intrants sont cités en tant que grands enjeux liés à la culture des protéagineux.
La création variétale a permis de porter le nombre de variétés de protéagineux (pois et féveroles) disponibles au catalogue à plus de 120 ! (vous êtes près de 70% à sous-estimer ce chiffre). Avec ça, il y en a forcement une faite pour vous…
La rentabilité, le frein majeur au développement des cultures de protéagineux ?
C’est la raison n°1 évoquée par plus de 2/3 d’entre vous, loin devant les contraintes agronomiques liées à la culture et les contraintes concernant l’itinéraire technique (notamment la récolte).
Améliorer le rendement, une nécessité
Composante-clé de la rentabilité, vous êtes près de la moitié à le désigner comme facteur bloquant au développement des protéagineux sur votre exploitation.
Un avis pleinement partagé par les producteurs bio.
Les bénéfices agronomiques comme motivation
Les protéagineux ont de nombreux intérêts, comme la réduction des intrants et l’amélioration de la qualité des sols, et cela ressort dans les leviers d’incitation pour produire des protéagineux.
Des motivations que l’on retrouve également chez les producteurs bio : réduction des intrants (43%) et amélioration de la qualité des sols (39%).
Pois et féveroles au cœur des attentes génétiques
C’est sur c’est deux espèces que vous attendez le plus de progrès, particulièrement sur les problématiques de rendement, de résistance aux maladies et d’adaptation aux changements climatiques
[ Podcast ]
Comment améliorer
l’autonomie
protéique ?
Photo haut de page : © SEMAE / Paul Dutronc
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